France
FR
SNCF
Aurorails des anciens réseaux
Renault
VH
Les VH sont les précurseurs des ABJ. Ils ont été construits à 100 exemplaires. Moteur de 300 ch dans la caisse, 100 km/h. Numérotation SNCF :
Ex-Est (10) : X 2001 à 2004 et 2021 à 2026 ;
Ex-AL (11) : X 2011, 2031 et 2041 à 2049 ;
Ex-Etat (36) : X 2301 à 2336 ;
Ex-PO-Midi (19) : X 2201 et 2202, 2211 et 2212, 2221 à 2231, 2241 à 2244 ;
Ex-PLM (15) : X 2101 et 2102, 2111 à 2123.
VH
3b
20061008
images/SNCF/AD/VH_PPLM
X 2101 et 2102, exemplaires de présérie du PLM. Portes arrondies, chassis et portes de fourgons spécifiques.
VH
3b
20061008
images/SNCF/AD/VH_5T
5 travées dans la partie médiane de la caisse (configuration la plus répandue).
VH
3b
20061008
images/SNCF/AD/VH_5TF
5 travées dans la partie médiane de la caisse, grand compartiment à bagages. Autorails de série ex-PLM X 2111 à 23.
VH
3b
20061008
images/SNCF/AD/VH_6T
6 travées dans la partie médiane de la caisse. Ex-AL (X 2041 à 2049).
VHD
Les VHD sont un dérivé à deux caisses articulées des VH. Leur apparence préfigure celle des ABJ. Un moteur de 300 ch dans chaque caisse, vitesse 120 Km/h.
X 1 et X2 ex-Etat.
VHD
3b
20061008
images/SNCF/AD/VHD
Les radiateurs "façon ABJ 3" ne sont pas d'origine mais datent de la modernisation après-guerre.
ABJ
Les ABJ forment la plus importante série d'autorails français d'avant-guerre. Un moteur de 300 ch dans la caisse, vitesse 100 ou 120 km/h. Numérotation SNCF :
ABJ 1 : X 3001 à 3019 ex-PLM, X 3101 à 3104 et 3111 à 3130 ex-Est, X3201 à 3210 ex-Nord, X 3301 à 3312 ex-PO ;
ABJ 2 : X 3401 à 3421 ex-Etat ;
ABJ 3 : X 3211 à 3221 ex-Nord, X 3141 à 3144 ex-Est, X 3501 à 3516 ex-Etat ;
ABJ 4 : X 3601 à 3635, commandes SNCF d'après-guerre.
ABJ 1 et 2
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ1_TC
Les premières séries d'ABJ avaient des radiateurs en faces frontales, ce qui n'était pas l'idéal pour le refroidissement en cas d'UM.
ABJ 1 et 2
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ1_TR
Peinture du toit en rouge dans la seconde moitié des années '60.
ABJ 3
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ3_TC
Les ABJ 3 se distinguaient par la disposition singulière de leurs radiateurs, en "coiffe" sur le toit.
ABJ 3
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ3_TR
Peinture du toit en rouge dans la seconde moitié des années '60.
ABJ 4
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ4_TC
La série d'après-guerre avait des radiateurs dont la position était de nouveau modifiée : ils étaient cette fois à plat sur le toit.
ABJ 4
3b4a
20030529
images/SNCF/AD/ABJ4_TR
Peinture du toit en rouge dans la seconde moitié des années '60.
ABV
Les ABV sont un dérivé à deux caisses articulées des ABJ. Sur 14 exemplaires construits, seuls 4 ont survécu à la guerre. Un moteur de 300 ch dans chaque caisse.
ABV 1
3b
20030907
images/SNCF/AD/ABV1_VN
Refroidissement naturel aux extrêmités façon ABJ 1. X 121 et 122.
ABV 1
3b4a
20030907
images/SNCF/AD/ABV1_VF
Modification ultérieure avec ventilation forcée.
ABV 2
3b4a
20030907
images/SNCF/AD/ABV2
Refroidissement naturel en toiture façon ABJ 3. X 123 et 131.
ADP
Les ADP sont un dérivé monomoteur plus puissant des ABJ (à l'origine, V16 de 500 ch ). ILs ont tous été renumérotés en 1960, pour faire la place aux derniers Picasso.
ADP 1 : X 4001 ex-Etat (prototype, aspect différent, très proche des ABJ 1/2), renuméroté X 4961 en 1960 ;
ADP 2 ex Etat : X 4011 à 4015 renumérotés X 4965 à 4969 en 1960 ;
ADP 2 ex Est : X 4021, renuméroté X 4963 en 1960 ;
ADP 2 ex PO-Midi : X 4101 à 4110 renumérotés (sauf le 4104 accidenté) X 4981 à 4989 en 1960.
ADP 2 (X 4010)
3b4a
20190331
images/SNCF/AD/ADP2_X4000
Aspect des ADP 2 ex Etat. Malgré un amortissement dans les années '70, aucun ADP n'a reçu de toit rouge.
ADP 2 (X 4100, 4021)
3b4a
20190331
images/SNCF/AD/ADP2_X4100
Aspect des ADP 2 ex PO-Midi et ex Est.
ADP 2 (X 4103)
3b4a
20190331
images/SNCF/AD/ADP2_X4103
La 4103 (puis 4183) a expérimenté le moteur MGO qui a ensuite été monté en série sur les X 2800. Il a ensuite conservé sa ventilation spécifique, malgré le montage de différents moteurs.
ADX
Les ADX sont une alternative bimoteurs aux ADP (2 x 300 ch). Seul l'ADX 1 prototype, rapidement réformé, présente encore un air de famille avec les ABJ, les ADX 2 ont des extrémités plus massives. Numérotation SNCF :
ADX 1 : X 5001 (prototype) ex-Est ;
ADX 2 : X 5101 à 5112 ex-PO-Midi ;
ADX 2 : X 5201 à 5108 ex-PLM.
ADX 2
3b4a
20031102
images/SNCF/AD/ADX2_TC
ADX 2
3b4a
20031102
images/SNCF/AD/ADX2_TR
Peinture du toit en rouge dans la seconde moitié des années '60.
AEK
Les AEK forment la série d'autorails légers dans la famille des autorails Renault d'avant-guerre. Deux moteurs de 150 ch disposés au centre, sous le kiosque. 120 km/h. Construction : 1936 - 1939. Numérotation SNCF :
AEK 1 : X 7001 ex-Etat (prototype, aspect différent) ;
AEK 2 : X 7010 à 7024 ex-Etat, X 7101 à 7107 ex-Est.
AEK 1
3b
20031005
images/SNCF/AD/AEK1
AEK 2 (X 7000)
3b
20190331
images/SNCF/AD/AEK2_X7000_PM
Les X 7000 (ex Etat) ont uniquement des hublots en partie centrale. Petites moustaches.
AEK 2 (X 7000)
3b4a
20190331
images/SNCF/AD/AEK2_X7000_GM
Grandes moustaches. Seuls 2 exemplaires présentant cet aspect ont survécu jusqu'à la toute fin des années '60, sur le Réseau Breton.
AEK 2 (X 7100)
3b
20190331
images/SNCF/AD/AEK2_X7100
Les X 7000 (ex Est) ont des fenêtres (et un groupe de 2 hublots d'un côté) en partie centrale, ainsi que des toilettes dans une des 2 grandes salles. Petites moustaches uniquement.
ADN et Standards
ADN
Les ADN (Aciéries Du Nord) forment une petite série d'autorails à un bogie moteur de 300 ch. A la SNCF, les ADN ont d'abord été immatriculés dans la série XA 2000 avant de devenir des X 22000 en 1962. Faisant suite à quelques prototypes déjà amortis au début des années '60, la deuxième génération comportait les :
X 22001 et 22002 : ex-Etat ZZ 24501 et 2 (première version) ;
X 22101 à 22104 : ex-PO-Midi ZZ 23811 à 14 (première version) ;
X 22105 à 22109 : ex-PO-Midi ZZ 23815 à 19 (deuxième version) ;
X 22201 à 22212 : ex-PLM ZZ H 101 à 112 (deuxième version).
ADN première version
3b
20050126
images/SNCF/AD/X22000
ADN deuxième version
3b
20050126
images/SNCF/AD/X22200
Baies plus basses et de disposition légèrement différente, WC déplacés, caisse différente au niveau du chassis.
Standard
Les ADN ont donné naissance à la première série d'autorails standards français (même type construits par des firmes différentes). Ceux-ci sont bimoteurs, mais la puissance totale reste inchangée. Numérotation : à la SNCF, les 59 Standards ont d'abord été immatriculés dans la série XA 3000 avant de devenir des X 23000 en 1962 :
X 23001 à 23008 : ex-Est ZZ 60201 à 208 ;
X 23101 à 23123 : ex-Nord ZZ 401 à 423 ;
X 23131 à 23146 : ex-Nord ZZ 441 à 446 ;
X 23501 et 23502 : ex-PO-Midi ZZ 23751 et 752 ;
X 23201 à 23208 : ex-PO-Midi ZZ 23753 à 760.
Standard classique
3b
20050126
images/SNCF/AD/X23000
Tous les autorails sauf les X 23131 à 146.
X 23130
3b
20050126
images/SNCF/AD/X23130
Diagramme différent (position des toilettes).
Berliet
En raison de leur puissance limitée, les autorails Berliet n'ont jamais été aptes à remorquer et n'ont donc pas reçu d'organes de choc et traction unifiés. Ils circulaient en solo ou en couplage entre eux.
X 31000
3b
20040530
images/SNCF/AD/X31000
X 31001 et 2.
X 33000
3b
20040530
images/SNCF/AD/X33000
X 33001 à 9.
Bugatti
Lors du passage à 2 classe, les autorails Bugatti avaient déjà presque tous disparu.
XB 4000
3b
20080330
images/SNCF/AD/XB4000
Type surallongé. Engagés sur la Côte d'Azur.
De Dietrich
210 ch
Les De Dietrich étaient les grands concurrents des Renault. Il s se différenciaient par une conception différente, avec un moteur installé sur chaque bogie. La première génération était constituée d'autorails de 210 ch.
Numérotation : à la SNCF, les De Dietrich 210 ch ont d'abord été immatriculés dans la série ZZ D 1000 puis XD 1000. Ils étaient tous amortis en 1962 et n'ont donc pas connu d'autre renumérotation.
XD 1001 à 1011 : ex-AL ZZr 13 à 22;
XD 1021 et 1022 : ex-Est ZZ 90001 et 90002;
XD 1031 à 1036 : ex-Est ZZ 70001 à 70006;
XD 1101 à 1106 : ex-Etat ZZ 24801 à 24806;
XD 1201 à 1210 : ex-PO-Midi ZZ 23921 à 23930;
XD 1001 à 1011
3b
20070311
images/SNCF/AD/XD1000
Les seuls avec conduite à droite (portes de cabines inversées). Feu central uniquement.
XD 1021 et 1022
3b
20210328
images/SNCF/AD/XD1020
Autorails dits dits de grandes lignes. Diagramme similairee à celui des ex-AL hormis la conduite à gauche. Feu central uniquement.
XD 1031 à 1036
3b
20210328
images/SNCF/AD/XD1030
Autorails dits de banlieue. Feu central uniquement.
XD 1101 à 1106
3b
20070311
images/SNCF/AD/XD1100
Doubles feux.
XD 1201 à 1210
3b
20070311
images/SNCF/AD/XD1200
Doubles feux.
320 ch
Le type 320 ch formait le gros des effectifs d'autorails De Dietrich. Ces autorails avaient un moteur de 160 ch installé dans chaque bogie.
Numérotation : à la SNCF, les De Dietrich 320 ch des anciens réseaux ont d'abord été immatriculés dans la série ZZ D 2000 puis XD 2000 avant de devenir des X 42000 en 1962.
X 42001 à 42008 : ex-PLM ZZ N 1 à 8 ;
X 42101 à 42105 : ex-AL ZZ r 28 à 32 ;
X 42111 et 42114 : ex-Est ZZ 60251 et 60254 (les 60252, 253, 255 et 256 ont été cédés à l'Algérie en1948) ;
X 42501 à 506 : ex-Etat 24811 à 24816 ;
X 42511 à 42515 : ex-Etat (caisse étrave) ;
X 42521 à 42524 : ex-Etat (caisse étrave) ;
X 42621 à 42630 : ex-Est ZZ 90051 à 90060 ;
X 3701 à 3720 : construction SNCF après-guerre.
X 42000
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X42000_TC
X 42000
4a
20040530
images/SNCF/AD/X42000_TR
Deuxième version de la livrée à toit rouge, "taille basse", s'harmonisant mieux avec les remorques unifiées.
X 42100 et 42500
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X42100_TC
X 42110
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X42110_TC
X 42510
3b
20040530
images/SNCF/AD/X42510
Les X 42513 et 42515 ont servi à la distribution des journaux (messageries NMPP) jusqu'au milieu des années '60. Pas de traverse de choc unifiée ni de feux unifiés.
X 42520
3b4a
20040530
images/SNCF/AD/X42520_TC
Pas de feux unifiés.
X 42520
4a
20040530
images/SNCF/AD/X42520_TR
Pas de feux unifiés. Deuxième version de la livrée à toit rouge, "taille basse", s'harmonisant mieux avec les remorques unifiées.
X 42620
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X42620_TC
X 3700
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X3700_TC
X 3700
3b4a
20040229
images/SNCF/AD/X3700_TR1
Toit rouge (à partir de la fin des années '60).
X 3700
4a
20040229
images/SNCF/AD/X3700_TR2
Deuxième version de la livrée à toit rouge, "taille basse", s'harmonisant mieux avec les remorques unifiées.
Ex-270 ch à gazogène
Huit unités construites. Un seul moteur. Numérotation SNCF : ZZ D 3000 puis XD 3000. Amortis à la fin des années '50.
XD 3001 à 3003, 3013 et 3014.
XD 3000
3b
20080629
images/SNCF/AD/XD3000
500 ch
La version plus puissante des De Dietrich n'a existé qu'en 6 exemplaires, tous de forme "pointue".Numérotation SNCF : ZZ D 4000 puis XD 4000 et enfin X 44000 en 1962.
X 44001 à 44006 : ex-PLM ZZ N 201 à 206.
X 44000
3b4a
20040530
images/SNCF/AD/X44000_TC
X 44000
4a
20040530
images/SNCF/AD/X44000_TR
Deuxième version de la livrée à toit rouge, "taille basse", s'harmonisant mieux avec les remorques unifiées.
DN11
Prototype ex-vapeur, converti avec moteur Diesel. Toujours resté propriété du constructeur, il a assuré des trains commerciaux jusqu'au milieu des années '60.
X 49011
3b
20040530
images/SNCF/AD/X49011
Livrée similaire à celle des RGP.
Decauville
Deux séries à transmission électrique. Numérotation : à la SNCF, les Decauville ont d'abord été immatriculés dans la série X DC 2000 avant de devenir des X 52000 en 1962 :
X 52001 à 52008 : ex-PLM ZZ P 1 à 9 puis ZZ DC 2001 à 2009 ;
X 52101 à 52110 : ex-PLM ZZ DC 2101 à 2110.
X 52000
3b4a
20050320
images/SNCF/AD/X52000_TC
X 52000
3b4a
20050320
images/SNCF/AD/X52000_TR
Toit rouge (à partir de la fin des années '60).
X 52100
3b4a
20050320
images/SNCF/AD/X52100_TC
X 52100
3b4a
20050320
images/SNCF/AD/X52100_TR
Toit rouge (à partir de la fin des années '60).
Somua
Autorails très particuliers avec leur composition bi-caisse asymétrique.
XS 1 à 11
3b
20040905
images/SNCF/AD/XS1_11
TAR Franco-Belge
Autorails rapides ex-Nord.
TAR 36
3b
20060514
images/SNCF/AD/TAR36_M_L
images/SNCF/AD/TAR36_R_R
images/SNCF/AD/TAR36_M_R
images/SNCF/AD/TAR36_M_L
images/SNCF/AD/TAR36_R_L
images/SNCF/AD/TAR36_M_R